En résumé :
Les étudiants vont-ils pouvoir revenir en cours en présentiels prochainement ?
Avec l’arrivée de nouveaux variants plus contagieux du coronavirus, il devient important de se tourner vers des masques répondant à des normes plus strictes. Le virus se propage plus facilement dans l’air que sur des surfaces contaminées et des experts ont pu démontrer que nous pouvons projeter de très fines gouttelettes à plusieurs mètres de nous lorsque nous parlons ou respirons. Cela peut suffire pour transmettre la maladie à d’autres personnes de notre entourage.
Les masques n’étaient pas produits en assez grande quantité lors de l’arrivée de la pandémie et les autorités ont alors encouragé la fabrication de masques artisanaux, c’est-à-dire fait maison. Mais cette solution d’urgence ne serait pas assez efficace. Alors, comment mieux s’équiper face à ce virus ?
Les cours à distance pour les étudiants
La vie étudiante a drastiquement changé depuis que le virus sévit, et les établissements ont dû innover pour permettre aux étudiants de suivre les cours malgré la crise sanitaire. Cette révolution s’est traduite par des cours en visio-conférence sur ordinateur, lors desquels les étudiants ont pu rester à domicile et éviter de prendre des risques. Les examens et partiels ont pu être réalisés à distance, limitant les contagions à travers la vie étudiante. Actuellement, c’est l’heure également de penser à la poursuite de ces études en s’orientant vers de nouvelles écoles. Si vous souhaitez intégrer une école de communication, nous avons trouvé ce site qui reprend le classement des écoles de communication.
Les impacts du coronavirus sur les étudiants
Les impacts du coronavirus sont importants dans la vie des étudiants. En effet, le coût de l’alimentation est devenu problématique. La fermeture des universités le 16 mars 2020 a été également synonyme de fermeture des restaurants universitaires et cafétérias qui assuraient une restauration à tarification sociale pour les étudiants : 3.30€ le repas. Les étudiants sont contraints de faire leurs courses alimentaires en grande surface. Les repas sont devenus plus chers, pour certains même plus rares et de moins bonne qualité. De plus, certains CROUS ont dû fermer leurs cuisines collectives, faute de services d’entretien. Les repas équilibrés chez les étudiants sont donc devenus beaucoup plus rares.
Beaucoup d’étudiants ont aussi perdu leur emploi étudiant pendant la crise sanitaire. En particulier les emplois liés à la restauration. Tous ces changements dans la vie étudiante font ressentir un mal être chez les étudiants qui sont coupés de la vie sociale.
Un retour progressif en présentiel
Le Premier ministre Jean Castex et la ministre de l’Enseignement supérieur Frédérique Vidal ont réagit par rapport à cette situation afin de limiter les cours en distanciel. Plusieurs mesures ont été évoquées comme la possibilité pour les étudiants de première année de reprendre leurs travaux dirigés, mais en demi-groupes, le 25 janvier 2021. Ce retour progressif à l’université devrait faire du bien à de nombreux étudiants cloitrés dans des chambres universitaires de moins de 15 mètres carrés. Un élargissement plus progressif devrait être prévu pour les autres étudiants si la situation sanitaire le permet.
Bien entendu, des protocoles sanitaires très strictes sont respectés à l’université comme les règles de distanciation. Les étudiants sont appelés à passer leurs pauses du midi en dehors de l’université. Enfin, des dépistages seront effectués.
Quels sont les gestes barrières à effectuer ?
Les gestes barrières sont primordiaux dans la mesure où le virus ne circule pas tout seul : c’est l’homme porteur du virus qui le fait circuler.
Des gestes simples permettent de limiter la transmission du virus :
- Se laver les mains le plus souvent possible avec de l’eau et du savon, surtout après avoir touché des éléments que d’autres personnes auraient pu toucher.
- Tousser ou éternuer dans son coude ou dans un mouchoir
- Garder une distance de deux mètres les uns des autres
- Arrêter les embrassades et les serrages de mains
- Eviter de porter sa main à son visage, ne pas toucher son nez ou sa bouche
- Porter un masque chirurgical ou en tissu de catégorie 1 dans les lieux où cela est obligatoire ou lorsque la distanciation de deux mètres ne peut pas être respectée.
Comment porter son masque ?
A partir de 13 ans, le port du masque est obligatoire, mais comment faut-il le porter afin que son efficacité soit au rendez-vous ?
- Laver ses mains avant de mettre son masque afin d’éviter d’y déposer des microbes
- Ne toucher que les élastiques du masque.
- Le masque doit couvrir le nez, la bouche et le menton. Il ne doit pas laisser d’espaces sur les côtés.
- Eviter de toucher son masque lorsqu’il est porté et le réajuster seulement en touchant les élastiques.
- Eviter d’enlever et de remettre le masque trop souvent.
- Se laver les mains après avoir enlevé le masque.
- Poser son masque sur un endroit propre s’il doit être retiré pour une courte durée, par exemple pour boire.
- Changer de masque si celui-ci est humide ou sale. Il faut changer de masque toutes les 4 heures, surtout si vous devez beaucoup parler.
Masques de catégorie 1 ou 2, que doit-on porter ?
Le ministre de la santé, Olivier Véran, a suivi l’avis du Haut Conseil de Santé Publique (HCSP) pour déconseiller les masques artisanaux de catégorie 2 (UNS – 2) le 21 janvier 2021 sur le 20 heures de TF1. Le HCSP a décrété que les masques grand public de catégorie 1 (UNS 1) qui filtrent à plus de 90% des particules sont suffisants pour limiter la transmission du virus et qu’il n’est pas nécessaire de rendre obligatoire le masque chirurgical ou le modèle FFP2.
Bien que le masque de catégorie 2 (fait maison ou industriel) ne soit pas interdit à la vente, le Haut Conseil de la Santé Publique recommande de ne plus le porter, même s’il répond aux normes AFNOR. Le taux de filtration du masque de catégorie 2 n’est pas suffisant.
Le masque de catégorie 1 (UNS1), recommandé par le HCSP, protège des projections directes de gouttelettes avec un taux de filtration supérieur à 90% pour les particules émises d’une taille de 3 µm. Souvent, la mention UNS1 est inscrite sur l’emballage : usage non sanitaire de catégorie 1.
Il est difficile de pouvoir faire la différence entre un masque de catégorie 1 et un masque de catégorie 2 sans emballages. Souvent, le masque de catégorie 1 est réalisé dans un tissu plus épais selon l’AFNOR : 400g/m2 pour la catégorie 1 et 200g/m2 pour la catégorie 2.
Et pour la suite ?
Même une fois la crise sanitaire du coronavirus passée, il se pourrait bien que les masquent soient toujours conseillés, surtout en période de grippe, et que certains l’adoptent définitivement. Ils pourraient également être encouragés lors de d’évènement regroupant un grand public dans un espace confiné.
Une chose est sûre, la pandémie aura bouleversé bien des mœurs, comme les cours à distance, le télétravail, et le souhait de protéger sa santé et celle des autres. Certains garderont certes le masque, mais les gestes barrières resteront pour la plupart ancrés dans les habitudes, pour le bien de la santé générale de la population.
De plus pour l’année prochaine les étudiants doivent choisir leurs orientation scolaire, si vous ne savez pas quoi choisir plusieurs salons seront organiser en digital sur le site de l’étudiant : visitez ici ou auprès des écoles comme le site dimension-bts. com avec son bts management commercial opérationnel.
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