Son Vrai Visage : Une mère au passé meurtrier dans cette saga d’espionnage amusante.

En résumé :

L’histoire d’une mère pas comme les autres

Une fusillade dans un restaurant révèle bientôt à Andy que sa mère a une vie secrète ce qui déclenche un torrent de rebondissements, de meurtres et de grabuge très divertissant.

Et si votre mère était John Wick ? Ou Jason Bourne, mais avec sa mémoire intacte ? Ou Jack Reacher, mais en plus petit ?

Telle est la question savoureuse posée par Son Vrai Visage, un nouveau thriller Netflix disponible depuis le 4 mars dernier basé sur le best-seller de 2018 de Karin Slaughter. Il semble peu probable qu’il s’agisse de la première adaptation pour la télévision de Slaughter qui pond des romans policiers addictifs plébiscités depuis 21 ans, mais cela semble être le cas. Les séries Grant County et Will Trent sont en cours de développement mais n’ont pas encore vu le jour.

Intrigue de Son Vrai Visage

Son Vrai Visage s’ouvre sur Andy (Bella Heathcote), une jeune femme dépressive et peu performante, qui fête son 31e anniversaire avec sa mère Laura (Toni Collette) dans un restaurant local. Lorsqu’un tireur ouvre le feu sur les personnes assises à une table voisine, Laura prend les choses en main, révélant le genre d’aisance et d’habileté avec diverses formes d’armes – et une volonté de les utiliser de manière fatale – qui suggère que maman n’est peut-être pas la gentille inquiète qu’elle semble être.

Et avec ça, c’est parti. La vidéo qui est bien sûr prise des événements dans le restaurant par un passant devient virale. Le visage de maman fait la une des journaux et Andy rentre bientôt chez lui pour trouver Laura attachée à une chaise et asphyxiée par ce qui s’avère être l’une des nombreuses personnes qui, pour des raisons encore inconnues, veulent sa mort. Laura se sauve et emmène Andy hors de la maison avec un téléphone jetable et des instructions pour se mettre à l’abri. Elle ne doit pas rentrer à la maison avant d’avoir entendu la voix de Laura sur ce même téléphone, lui disant que c’est bon.