L’adaptation du roman du Français Gérald Bronner est modeste, les acteurs principaux Benoît Poelvoorde et Pio Marmaï ne parvenant pas à s’imposer, perdus dans un scénario indécis et sans relief
En 2021, les super-héros ne sortent plus de l’ordinaire depuis un certain temps déjà. En effet, nous sommes depuis longtemps habitués à ce que certaines personnes aient des pouvoirs « surhumains ». Mais si, au contraire, tout le monde pouvait en avoir ? En fait, il existe un médicament en circulation qui garantirait un résultat aussi incroyable, même pour l’homme le plus « ordinaire ». L’idée est certes séduisante mais, comme c’est souvent le cas, la situation devient rapidement incontrôlable, les premiers individus à l’avoir expérimentée commençant à abuser de ces nouveaux pouvoirs à des fins pas vraiment louables.
Le flic Gary Moreau (Pio Marmaï) est donc chargé avec sa nouvelle collègue Cécile Schaltzmann (Vimala Pons) de faire toute la lumière sur cette affaire et de retirer le médicament du marché. Il est soutenu dans cette tâche pas si facile par Monté Carlo (Benoît Poelvoorde) et Callista (Leïla Bekhti), deux véritables super-héros qui utilisent leurs facultés pour le bien …
C’est le postulat pas vraiment innovant de « Comment je suis devenu super-héros« , un film français qui vient d’être ajouté au vaste catalogue de Netflix, très attentif au genre. Les tentatives de tirer parti de la grande popularité des titres Marvel et DC parus au cours de la dernière décennie n’ont certainement pas manqué. D’autre part, les tentatives que l’on peut qualifier de réussies se comptent sur les doigts d’une main.
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